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Dispersés à travers le vaste Massif calcaire, dans le nord-ouest de la Syrie, entre l'Oronte et Afrin Rivers à l'ouest et l'autoroute Alep / Hama à l'est, plus de 700 villages abandonnés de Roman et de Byzance époque datant du 5ème et 8ème des siècles.

Ces soi-disant "Dead Cities" nom -a donné par certains explorers- européens début existent dans un état de conservation remarquable. 

En grande partie intacts sont des bâtiments et des maisons, des centaines de temples païens, églises et sanctuaires chrétiens, monuments funéraires, Saunas, et plus encore.

Ces villages ou villes étaient autrefois les grands producteurs agricoles de blé, les olives, l'huile d'olive, le raisin et le vin. 

Ensuite, la température a changé. La sécheresse et la température a augmenté causé la terre pour devenir improductif. 

Dans le même temps, la conquête par les Arabes a changé les routes commerciales et ces villages a perdu la majorité de l'entreprise. 

Finalement, les villages ont été abandonnés et les colons dirigés vers d'autres villes qui ont été florissantes sous les Arabes.

Crédit photo: Shane Horan / Flickr

Les ruines d'Al-Bara comprennent deux grandes pyramidal au toit, un certain nombre d'églises, un monastère à deux étages, un croisé de l'époque fort Qalaat Abou Safian, ainsi qu'un bâtiment de la presse du vin et un pressoir à olives.

Près de Al-Bara est une autre "ville morte", Serjilla, célèbre pour ses magnifiques vestiges de thermes romains, qui montre comment la prospérité de la région avait été. 

Dans une autre ville abandonnée, Kharab Shams, est une merveilleuse basilique, une des plus anciennes structures chrétiennes les mieux préservées du Levant, datant du IVe siècle. 

Pourtant, une autre église bien conservée de la seconde moitié du Ve siècle est situé dans le village de Mushabbak.

Les villages font maintenant partie des sites du patrimoine mondial de l'UNESCO.

"Le paysage culturel relique des villages constitue aussi une illustration importante de la transition de l'ancien monde païen de l'Empire romain au christianisme byzantin. 

Vestiges illustrant des techniques hydrauliques, lesmurs de protection et parcellaire romain plans offrent en outre le témoignage de la maîtrise de la production agricole des habitants », dit la description sur le site Web de l' UNESCO .

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